Vous êtes à la recherche d’un emploi en 2021 ? Bonne nouvelle : 11 secteurs à la pointe de l’innovation recrutent cette année ! Nous vous donnons toutes les clés pour décrocher le poste de vos rêves dans des secteurs qui sont en effervescence.
Plan de l'article
- Les recrutements reprennent dans le secteur des assurances !
- Les recrutements en tête de liste télécabine
- Logistique et transport : les secteurs qui recrutent des jeunes en 2021
- Le luxe, la tradition de l’innovation
- l’industrie française au chevet du monde
Les recrutements reprennent dans le secteur des assurances !
En 2019, la France a été, pour la deuxième année consécutive, le premier marché de l’assurance en Europe continentale, devant l’Allemagne et le Royaume-Uni. Quelle place les jeunes diplômés ont-ils pour l’aider à repenser l’assurance à un une période de changement de paradigme mondial ? Où en sont les recrutements dans le secteur des assurances en 2021 ? Éléments de réponse.
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En 2019, le chiffre d’affaires du secteur des assurances en France a augmenté de 2,5 % pour atteindre 296 milliards d’euros. Une augmentation du volume d’affaires tirée par l’assurance personnelle et l’assurance de biens et de responsabilité, qui devrait être confirmée d’ici 2020, poussant le secteur à recruter. L’Association des assureurs mutuels (regroupant 114 entreprises du secteur des assurances) a annoncé en janvier dernier qu’elle prévoyait 12 600 embauches en 2021 (dont 2 000 réservées aux jeunes en apprentissage).
L’assurance n’est pas le grand méchant loup !
Des besoins de recrutement accrus donc, pour un secteur enraciné dans la vie « Les controverses qui ont pu surgir pendant la crise du Covid ne doivent pas occulter le rôle sociétal de l’assurance en France », assure Laurent Imbert, enseignant et responsable de la majeure actuarielle à l’ESILV (Pôle Léonard de Vinci). Au-delà de la réparation et l’indemnisation des sinistres, elle a également une fonction d’absorption des crises grâce à des investissements dans des succursales longues. Il joue également un rôle préventif important, notamment en termes de risques industriels, climatiques ou sanitaires. Enfin, il joue un rôle crucial dans la garantie des investissements au plus haut niveau. Par exemple, il est impossible pour la France de vendre des Rafales à l’étranger, sans la garantie d’arrangements financiers de la part des acteurs de l’assurance ».
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« Du scooter au char, le champ d’assurance est très large. Les métiers d’assurance et d’investissement offrent un poste d’observation extraordinaire des tendances de la société et de son évolution », déclare Philippe Donnet (X 80), PDG du Groupe Generali. Vous souhaitez rejoindre l’un des plus grands groupes internationaux d’assurance et de gestion d’actifs, c’est ici !
Nous recrutons dans le secteur des assurances en 2021… mais à quels postes ?
Bien que les enjeux de l’assurance soient nombreux, le les professions offertes par le secteur sont tout aussi nombreuses, que ce soit dans les compagnies d’assurance, les mutuelles, les institutions de retraite, les réassureurs ou les cabinets de conseil. Du côté des nouvelles entreprises, il y a une très forte croissance des besoins en assurance dans l’économie du partage. De même, la multiplication des normes et l’augmentation des risques entraînent une augmentation du pouvoir actuariel. « Que ce soit dans la banque d’investissement ou dans les grands assureurs, il existe également de grandes opportunités en gestion d’actifs et une dynamique vers des investissements à long terme et socialement responsables, avec un besoin important de profils juniors pour renforcer les équipes », explique Jérôme Troïano, directeur de carrière à l’EDHEC.
Mutual Harmony est le lieu où il faut être : 1 000 professions différentes (ventes, chefs d’entreprise, experts en relation client, conseillers d’agence, professions de gestion via des plateformes, fonctions de support…) et de multiples parcours transversaux. « Avec nous, vous contrôlez votre carrière professionnelle ! dit Emeric Lozé, directeur du développement et du soutien à l’harmonie mutuelle
Astuces Pro
« Dans la bancassurance, la passion pour l’entreprise et le secteur est au centre. Les compétences techniques et les compétences non techniques ne suffisent plus : le point de vue global, la compréhension et l’anticipation des changements dans le secteur, le recul et la capacité d’adaptation à l’impact immédiat des crises sur les marchés sont devenus plus essentiels que jamais aujourd’hui. Les postes sont là mais il faut aller les chercher, savoir être convaincant et surtout bien préparé ! conseille Jérôme Troiano.
Le saviez-vous ? Dans le secteur des assurances, 6 salariés sur 10 sont des femmes et de plus en plus d’entre elles s’imposent dans les instances dirigeantes du secteur. La preuve dans le contre-entretien avec Virginie Le Mée et Françoise Louarn, respectivement DG et DGA de l’Union Mutualiste Retraite.
L’actuariat est en hausse
Dans en cette période de crises comme celles que nous traversons aujourd’hui, nous avons besoin d’experts en risques. Et qui est mieux formé à cette fin que les professionnels de l’actuariat ? Parce que même mieux qu’un data scientist maîtrisant les méthodes mathématiques complexes, l’actuaire est doté d’une double compétence précieuse entre l’analyse des données et une parfaite connaissance des variables d’ajustement. En fait, il est à l’aise partout et peut évoluer rapidement : comptabilité, audit interne (un tremplin car il est proche de la direction), audit externe, réassurance… « L’actuaire est dans le BtoB, jamais dans le BtoC. Il travaille sur les mêmes modèles qu’un financier mais avec une véritable âme supplémentaire. En lien étroit avec l’économie réelle, il voit et comprend ce qu’il fait et pourquoi il le fait. Sans oublier que c’est une profession qui ne connaît pas de chômage et qui est parmi les plus rentables ! insiste Laurent Imbert.
Ageas est à la recherche de jeunes actuaires qui en veulent ! La preuve dans le entretien avec Bertrand Hau (Université de Lille DECF 89), directeur général adjoint d’Ageas France.
Vous souhaitez participer au prochain recrutement en assurance ?
Un futur actuaire ? Et si vous essayez la majeure d’ESILV ? Très peu d’écoles d’ingénieurs offrent un double diplôme permettant aux étudiants d’obtenir le titre d’actuaire. ESILV est la seule école en France à avoir plusieurs doubles diplômes avec des cours certifiés par l’Institut des actuaires (avec une quinzaine de places au total) sans oublier la possibilité de faire un triple diplôme avec l’EMLV afin de devenir directeur actuaire ingénieur. pratique où les cours sont principalement enseigné par des actuaires. Nos étudiants se distinguent par leurs bonnes compétences en informatique et leur grande facilité d’adaptation au monde professionnel grâce à des cours orientés vers le métier » rappelle Laurent Imbert.
Les recrutements en tête de liste télécabine
Nourrissez 9 milliards de personnes dans le monde d’ici 2050. C’est le défi vertigineux auquel sont confrontés les professionnels du secteur agroalimentaire et du commerce de détail, secteurs dont le caractère « essentiel » a été exacerbé par la crise du Covid. Mais quels sont les secrets du secteur français pour atteindre cet objectif et quels sont ses besoins de recrutement ? Éléments de réponse.
De la fourchette à la fourchette, la crise sanitaire a profondément touché l’ensemble du secteur agroalimentaire. En amont, bien sûr, avec des impacts sur la main-d’œuvre, la demande des marchés internationaux et la chaîne d’approvisionnement en particulier. Mais aussi en aval, avec de forts changements dans les schémas de consommation qui font le grand écart entre le duo proximité et saisonnalité et un recours sans précédent au commerce électronique. Pour preuve, alors que la demande de produits Made In France et de produits « faits maison » n’a jamais été aussi forte, Amazon a vu ses ventes d’emballages de farine augmenter de 18 000 % entre le 22 avril. et 23, 2020… #FrenchParadoxe.
Nouvelles habitudes, nouveaux emplois : il recrute dans le secteur agroalimentaire en 2021
De nouveaux réflexes de consommation qui font tourner les usines agroalimentaires et les grands détaillants à plein régime. D’où un besoin accru de recrutement, y compris, sinon spécialement, sur des profils qualifiés : directeur de production, responsable de la qualité, ingénieur ou responsable de la maintenance, expert de la chaîne d’approvisionnement, ingénieur R&D, ingénieur commercial, chef de produit, spécialistes de l’emballage, mais aussi data scientist et data pro pour gérer l’explosion du commerce électronique.
Vous voulez faire croquer la vie professionnelle jusqu’à la plénitude des dents ? Delacre Cookies pourrait bien vous faire craquer ! Xavier Danthine, directeur de Delacre, nous dévoile les secrets de fabrication d’un leader mondial.
Tendances à suivre de près
Des profils qui doivent relever de nombreux défis cette année. Face aux consommateurs en demande pour un bien-être animal sain et local, sauver le planète, éthique, sécurité alimentaire, mais aussi rapidité et efficacité, l’innovation sera leur deuxième prénom en 2021 ! Parmi les innovations de produits, le développement de protéines alternatives ou « viandes végétales » et la nutrition santé/beauté (fibres, prébiotiques, probiotiques) sont en tête du panier. Côté techno, place for food-tech qui vise à introduire une contribution numérique au service alimentaire tout au long de la chaîne de valeur, la livraison agro-tech (culture assistée numériquement) de nourriture à domicile.
L’agrobusiness de demain sera responsable ou non
Les secteurs « essentiels », l’agroalimentaire et les détaillants de masse sont également particulièrement mis à l’épreuve par les consommateurs qui leur disent « nous avons besoin de vous, mais il est impossible de continuer ensemble sans autres garanties. À ce titre, l’explosion des applications de type Yuka est encourageante car elle montre l’intérêt du consommateur pour ce sujet, mais doit également alerter les fabricants sur la nécessité d’être plus clairs et plus transparents, prévient David Garbous, co-fondateur du MSc Communication and Marketing Responsable d’ISC Paris et ancien directeur commercial de Lesieur et de Fleury Michon. Parce que l’agroalimentaire est l’un des seuls secteurs où un alignement entre les exigences personnelles et environnementales des consommateurs est possible à très faible coût. Choisir un produit, c’est comme voter pour un système et augmenter ainsi le niveau d’exigence des marques de manière incroyable. »
Et pour cela, rien de mieux qu’un marketeur… mais responsable aussi ! « Un marketeur 3D, capable de comprendre les attentes des consommateurs et de les mettre en corrélation avec le savoir-faire de sa marque en intégrant, toujours, une dimension sociétale. C’est rôle : remettre en question les décisions pour savoir si elles sont pertinentes à l’âge de 10 ans. Avec une boussole à la main : la sincérité. Aujourd’hui, raconter une belle histoire ne suffit plus. Pour avoir un impact, il faut raconter toute l’histoire », insiste David Garbous.
Logistique et transport : les secteurs qui recrutent des jeunes en 2021
Véritable poids lourd de l’économie française, le secteur de la logistique représente 10 % du PIB de notre pays et près de 150 000 entreprises. Et pas de logistique sans transport… et vice versa ! Ensemble, ils constituent une véritable source d’emplois pour les jeunes plongeants ».
Production, stockage, distribution, traitement des commandes, puis transport… Il n’y a pas de shunting dans l’industrie du transport et de la logistique !
La logistique passe au vert
Comme le secteur industriel en général, que ce soit dans le domaine de la logistique ou du transport, les questions environnementales et de développement durable sont de plus en plus prises en compte compte. En plus des questions environnementales. En réfléchissant à la manière d’optimiser la chaîne d’approvisionnement en particulier, afin de réduire l’impact carbone », explique Benjamin Cabanes, responsable académique du département de génie industriel de l’Ecole des Ponts ParisTech.
La logistique et le transport en France en 5 chiffres clés
La logistique représente 2 millions d’emplois/150 000 entreprises/6e marché mondial En 2018, 368,5 milliards de tonnes-kilomètres de marchandises ont été transportées sur le territoire métropolitain français. Les dépenses totales de transport se sont élevées à 425,1 milliards d’euros, soit 18,1 % du PIB.
« Il y en a pour tous les profils » dans ce secteur qui recrute en 2021
Patrice Pourchet, directeur exécutif du Master spécialisé en gestion des achats internationaux et chaîne d’approvisionnement à l’ESSEC, a constaté un intérêt croissant des étudiants pour ce secteur face à la crise sanitaire. « Il a éveillé en eux un autre regard dans ces professions. Pour les jeunes qui veulent être en direction et en action, faire un travail qui a du sens, c’est l’idéal », assure Patrice Pourchet.
Et c’est une bonne chose, car le secteur de la logistique est un important fournisseur d’emplois pour les jeunes diplômés. Selon Supply Chain Info, près d’un cinquième des travailleurs ont moins de 25 ans (jusqu’à 20 % en Ile-de-France) ! Et aujourd’hui, ce sont les fonctions liées à la chaîne d’approvisionnement et aux achats qui sont recherchées par les entreprises. « Les étudiants sont même invités à développer des compétences qui combinent ces deux fonctions », explique Patrice Pourchet.
>>>> Raphaël Blanchard Directeur technique et industriel de RATP Infrastructures (toute nouvelle BU du groupe RATP) vous donne trois bonnes raisons de vous tourner vers la logistique des secteurs du transport et du transport en 2021.
Les entreprises ont besoin de personnel bien formé dans les transports
Un autre exemple est celui des transports : « Les entreprises ont besoin à la fois de jeunes bien formés et dotés de doubles compétences (techniques et spécialisés), mais aussi des universitaires et des personnes ayant un niveau d’éducation inférieur. Il y en a pour tous les profils, hommes et femmes », explique Patrice Pourchet. Et pour lui, sensibiliser et attirer les jeunes vers les métiers de la logistique est également un véritable défi : « Ce sont des emplois extrêmement importants, sous tension, mais qui sont peu connus car le secteur communique très peu ».
Vers un transport vert ?
transport couvre un très large éventail de possibilités : du fret au transport de personnes avec de grandes entreprises privées ou aux missions de service public. Quel que soit leur domaine d’action, les professionnels du transport partagent un défi plus central que jamais : concilier la demande croissante de mobilité et réduire l’impact environnemental des voyages. Dès 2016, le ministère chargé des transports et l’Agence pour l’environnement et la gestion de l’énergie (ADEME) ont mis en place le programme « CO2 objectif ». Une ambition ? Fournir aux entreprises de transport routier de marchandises et de voyageurs des outils pour améliorer leur performance environnementale, en se concentrant sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) liées à la consommation de carburant. Le
Quels sont les métiers vers lesquels se tourner en logistique et en transport ?
Conseils : assistance technique, stratégie, chaîne d’approvisionnement, IS… Ingénierie des opérations R&D, qualité, marketing, ventes. Développer et concevoir des méthodes et des solutions pour augmenter l’efficacité des machines, des lignes de production et des systèmes. , gestion de projet, ingénieur, ingénieur en structure, ingénieur de test, chef de projet…
Le luxe, la tradition de l’innovation
Les maisons françaises de luxe sont exportées à plus de 90 %. Premiers défis post-COVID : le marché asiatique, la reconquête des clients locaux et internationaux, le accélération du numérique… Le point avec Bénédicte Epinay, déléguée générale du comité Colbert, et Thibaut de La Rivière, directeur de Luxury Sup.
Le secteur du luxe, bien qu’affaibli par la crise, revient plus fort : « À chaque crise, le luxe sort la tête de l’eau plus rapidement que les autres secteurs et prouve une fois de plus sa résilience », a déclaré Benedicte Epinay : « Les marques passent par les générations. Le luxe, c’est ce qui reste quand le produit est passé. Il existe depuis que le monde est un monde et il continuera d’exister jusqu’à ce que le monde ne soit plus là ! « assure Thibaut de La Rivière.
Moët Hennessy (division Vins et spiritueux de LVMH) : une bulle de vie, d’élégance et d’excellence que même la crise sanitaire et économique ne peut faire éclater. « L’année a été compliquée pour le luxe, mais le secteur n’a pas beaucoup souffert. Dans ce cas, les collaborateurs de Moët Hennessy se sont adaptés avec résilience et agilité à ces nouveaux défis, notamment en dynamisant notre site de commerce électronique Clos19″, explique Jonas Tahlin, président de Spirits Brands, dans son interview.
Un secteur qui recrute des quatre coins du monde en 2021
L’expansion de grands groupes dans le monde s’est révélée être la stratégie gagnante en temps de crise : « Si elle ralentissait, les affaires ont déjà bien démarré dans les pays asiatiques, notamment en Chine. Il rebondira même d’une manière exceptionnelle, comme il l’a toujours fait, créant des opportunités passionnantes pour les jeunes diplômés du monde entier. » Selon l’expert, le développement d’une approche multiculturelle est désormais nécessaire pour travailler sur le terrain.
La vague numérique est même en hausse dans le luxe
Les plateformes en ligne ont également permis de toucher un public plus international pendant le confinement. Covid a joué un rôle phénoménal rôle d’accélérateur du côté numérique. La maturité numérique des entreprises de luxe a en effet pesé sur la balance : « Nous avons gagné 10 ans en quelques mois ! « Les grandes maisons posaient des questions sur leur positionnement en ligne. 2020 leur a permis d’y répondre.
Qu’en est-il de la vente en magasin ?
Parmi ces questions : le numérique cannibalise-t-il les ventes en magasin ? « Après réflexion, les acteurs du luxe apprécient toujours autant le rôle des vendeurs en magasin. Ce sont des « points de contact », un premier contact avec le client pour établir un dialogue et stimuler les ventes en magasin et sur le digital », explique Bénédicte Epinay. « Autrefois réservés à une certaine élite financière, les produits de luxe sont maintenant très populaires auprès d’autres segments de la société grâce aux réseaux sociaux qui les ont démocratisés d’une manière ou d’une autre. Ils se rendent ensuite au magasin pour vivre cette fameuse « expérience de luxe », ajoute le directeur de Sup de Luxe.
Pour que le secteur de la joaillerie continue de se démarquer en 2021, les marques doivent rester fidèles à leurs valeurs et être authentiques, qu’elles continuent à se réinventer pour offrir (toujours) plus de service à leurs clients ».
Le luxe tourne déjà la page de 2020 et en écrit une nouvelle sur les grands changements à venir. Parmi ceux-ci, l’engagement et la mise en œuvre d’une politique RSE : impact environnemental, diversité, inclusion, emploi local…
Nous recrutons dans le secteur du luxe en 2021 !
Ce penchant pour la RSE contribue également à l’attractivité de certains emplois : « Un jeune ingénieur climatome a posté sur LinkedIn qu’aucune des entreprises énergétiques à qui il avait envoyé son CV ne lui avait répondu. J’ai dit : « Pourquoi ne pas postuler pour le luxe ? « Son expertise est très recherchée dans les maisons de vin confrontées aux problèmes du réchauffement climatique pour la culture de leurs vignes », cite par exemple la Déléguée générale du Comité Colbert, qui souhaiterait que la jeune génération ait davantage le « réflexe de luxe ». La tendance numérique conduit également à la recherche de profils d’experts tels que data scientist ou cloud engineer. Quoi qu’il en soit, le luxe continue de faire rêver la jeune génération. « C’est un secteur prospère, pilier de l’économie française, qui offre des emplois durables. » Pour preuve : 16 maisons du Comité Colbert ont des écoles internes qui permettent à leurs employés d’être formés tout au long de leur carrière. Thibaut de La Rivière. « Mais c’est là toute la beauté de cette région. Il est gratifiant de participer à l’influence de la France à l’étranger et à son dynamisme économique. »
l’industrie française au chevet du monde
En tant que l’un des principaux producteurs européens de médicaments, la France place son industrie pharmaceutique au troisième rang de ses secteurs d’exportation avec un chiffre d’affaires plus de 50 milliards d’euros et plus de 100 000 emplois. Quels sont les atouts de l’industrie française pour guérir le monde ?
Traitements contre le Covid-19, course aux vaccins, vieillissement de la population, développements technologiques… Compte tenu de ses défis décisifs, le secteur de la santé et de la pharmacie voit ses besoins en recrutement augmenter.
La France se concentre sur son système de santé
Le plan de relance économique 2020-2022, baptisé France Relance et présenté le 3 septembre 2020, prévoit de débloquer 6 milliards d’euros dans le cadre du Segur de la santé. Parmi les investissements majeurs, la restructuration de l’offre de soins de santé et la modernisation des outils de santé numériques ont été annoncés. La France est en train de stimuler l’avenir de ce pilier de l’économie. Et pour cause, le contexte sanitaire a révélé l’importance de son développement. Les soignants ont assuré la prise en charge des malades, l’industrie pharmaceutique a été fortement mobilisée pour trouver un les professionnels des vaccins et des dispositifs médicaux ont proposé des équipements innovants et adaptés. Ils étaient en première ligne !